17 décembre 2008

40 !


Personne n'est jeune après quarante ans
mais on peut être irrésistible à tout âge.
[Coco Chanel]

6 décembre 2008

1968 -2008

Je suis né hier ! Bon, d'accord... pas tout à fait hier, mais presque. Certes, d'aucuns diront que hier, c'était au siècle précédent. Mais ceux-ci sont des mauvaises langues dont la mesquinerie ne m'atteint pas.

Je dois cependant vous avouer que je prends un sacré coup de vieux, moi, en ce moment. Non pas que je vieillisse moi-même, non ! Mais une curieuse vague a entraîné toute une partie de mon entourage ces derniers mois.

Pour tout vous dire, ça a commencé dès le début de l'année. A peine les vapeurs d'alcool du réveillon évanouies et le bruit des pétards atténué par le rugissement des vagues de l'Atlantique, je me préparais à affronter une année durant laquelle les bougies des gâteaux d'anniversaires marqueraient de leurs flammes pétillantes l'arrivée de l'âge mûr. L'âge de raison.

Comme je vous disais, tout à commencé le 2 janvier ; et c'est ma copine Isa qui a lancé les hostilités. Et là, telle une rivière qui sort de son lit et envahit les rues d'une ville apeurée, la quarantaine a commencé à submerger la plus grande partie de mes amis. Bon, la petite Isa, la quarantaine elle l'a chopé en même temps que la grippe, alors ça donnait pas le moral aux autres. Extinction de voix, fièvre, mal de tête... Et puis, malgré tout, les autres en question, ils ont suivi dans la foulée : Véro, Isa n°2, Franck, Patricia, la Grande chevelue, Thierry, Christine, Stéphanie... L'inondation du siècle. L'horreur. Une invasion de quadras dans mon entourage !

Heureusement que je suis encore jeune pour supporter tout ça, moi le fringant trentenaire dynamique, pétillant, plein de vigueur et d'avenir !

"Et Francky, l'année... elle est pas finie...
- Et alors ?
- Alors... t'as encore le temps de tenir compagnie à tes amis.
- Ben, oui mais bon je voudrais pas laisser mon copain Cyprien tout seul à profiter de la trentaine. Ça nous va bien, à nous, la trentaine !
- On en reparle dans quelque jours ?"

En attendant, je suis toujours trentenaire, moi... ET TOC !

3 décembre 2008

Enfin des nouvelles

Oui, bon je sais !!! JE SAIS... Ça fait 5 mois que tu t'ennuies de moi, petit lecteur, et que tu viens régulièrement sur mon blog pour vérifier si ENFIN le Francky s'est décidé à écrire un article !

Mais est-ce que tu t'es rendu compte, petit lecteur, que depuis juillet, la société a changé ! Ya eu la crise, depuis juillet... Mais nan... pas la crise de migraine ! La crise financière. Bon, d'accord. Tu fais comme moi... tu as tellement d'argent que de toute manière tu sais que parmi les 258 sociétés du CAC 40 dans lesquelles tu as investi 12.123.583 euros... QUOI ? Y'en a que 40 des sociétés dans le CAC 40 ? On m'aurait menti ? Et on nous fait chier tous les jours au JT pour 40 entreprises alors qu'on est des millions à bosser...

Bref, je m'éloigne de mon sujet : je parlais de quoi ! Ah oui de mes investissements et de la crise. Ben, oui, parce que je travaille plus. Pour gagner plus. Oh... te marre pas, petit lecteur ! Je me suis bien rendu compte que mes heures sup je les réinvestissais chez Edouard. Comment, quel Edouard ? Leclerc, bien sûr ! Toutes les semaines je lui laisse de l'argent. Et chaque mois je lui en laisse un peu plus ! Mais je fais tout bien comme ils disent à la télé. Je mange 5 fruits et légumes par jour et c'est un bon investissement, ça, les fruits et les légumes. Ça augmente plus vite que le taux du livret A. Tu vois, faut pas être négatif.

Bon, bien sûr je les ai pas, ces 12.123.583, euros, et je pourrais travailler pendant 15 vies d'affilé que je ne les aurais jamais ! Mais finalement, je suis content de ne pas les avoir perdu en bourse !!! Comme quoi, moins on en a, moins on en a à perdre...

Bon, j'arrête pour aujourd'hui parce que sinon, petit lecteur, tu vas faire une overdose, après tout ce temps sans me lire. Mais promis, je vais essayer de revenir très vite. Et si mon blog n'apparaît plus un jour, écrivez à mon banquier, c'est lui qui aura pris les clés ! Mais promis, si c'est le cas, je piquerai ma crise !